Violette GROSPERRIN
Retrouvez sa biographie "complète" sur le site du Musée
de la création franche
C’est à la suite d’une longue analyse jungienne que la
peinture s’impose à Violette Grosperrin, après avoir dessiné au fusain puis à la plume et à l’encre, des formes figuratives et abstraites
inspirées des rêves et de la nature. Aujourd’hui, la musique, une autre passion, ainsi que l’interprétation des rêves, complètent et
enrichissent sa création qu’elle pratique en autodidacte. Pour composer ses tableaux en relief, elle utilise toutes sortes de matériaux :
du carton découpé pour former des sortes de briques, du papier kraft, du papier journal et du papier japon froissés, mais aussi des sachets
de thé qu’elle enduit et peint à l’acrylique puis assemble sur des panneaux de bois. Elle réalise également des triptyques entièrement
recouverts de papier. Son travail s’élabore à partir d’une idée ou d’une image autour de laquelle s’organise la scène. Son œuvre est
peuplée de personnages et d’animaux qui expriment des symboles ; « c’est un lieu de contemplation, de silence, de présence aux mystères de
la Vie (…) c’est du réel intensifié », explique-t-elle.
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